Archive pour la catégorie ‘Saint Exupéry pratique’

Télévision : passage au numérique le 8 mars

Mercredi 26 janvier 2011

Le 8 mars prochain, notre région passera au numérique.

Il s’avère donc urgent de s’assurer de la compatibilité de nos équipements.

Les téléviseurs achetés  après le 1er mars 2008 doivent normalement être équipés d’un décodeur TNT intégré. Dans ce cas, vous n’aurez pas besoin d’acheter un équipement complémentaire.

Il n’est pas utile de jeter son ancien poste de télévision ! Il suffit d’acheter un décodeur TNT (une vintaine d’euros pour les premiers prix).

Un simple branchement avec une prise péritel doit suffire à recevoir la TNT.

Dans certains cas (personnes âgées, ressources insuffisantes), des aides financières et techniques peuvent être accordées

Pour de plus amples renseignements, vous pouvez consulter le site tous au numérique ou téléphoner au  0 970 818 818 (du lundi au vendredi, de 8h à 21h, prix d’un appel local).

 

Rappel : dans le cas où vous choisisseriez de changer votre poste de télévision, n’oubliez pas que vous devez rapporter votre ancien poste au magasin où vous allez acheter le nouveau téléviseur. Votre ancien poste sera alors recyclé. Ceci est gratuit. Plus d’informations ici.

Dalles du parvis : attention, fragiles… et chères !

Mardi 23 février 2010

Etre homme, c’est précisément être responsable. C’est sentir, en posant sa pierre, que l’on contribue à bâtir le monde.”

Antoine de Saint Exupéry     Terre des hommes

Les dalles du parvis sont simplement posées sur des plots en plastique .

La hauteur de ces plots est réglée de façon à ce que les dalles soient à niveau et à assurer leur stabilité.

Un usage inapproprié peut, entre autres, expliquer les différences de niveau entre certaines dalles.

Une personne âgée peut chuter en accrochant son pied sur une dalle qui ne serait pas à niveau.

Des véhicules stationnent parfois (malgré l’interdiction) sur le parvis pour faciliter un déchargement ou par manque de place sur le parking aérien.

La dalle n’a pas été conçue pour supporter le poids d’un véhicule. Le risque de casser une dalle ou de dérégler les plots est important.

 

Il faut savoir qu’ une dalle coûte à elle seule 85 € HT (TVA à 5,5 %) !

A ce prix, il faut bien sûr rajouter le coût de la main d’oeuvre.

Si le montant de ces réparations n’est pas répercuté directement sur nos quittances, il est toujours au bout du compte à notre charge. Les dépenses liées à ces réparations sont faites au détriment d’autres travaux d’amélioration sur notre résidence.

S.P.R.

 

 

Grande crue de la Seine : centième anniversaire

Jeudi 28 janvier 2010

“La terre nous en apprend plus long sur nous que tous les livres. Parce qu’elle nous résiste. L’homme se découvre quand il se mesure avec l’obstacle”

Antoine de Saint Exupéry     Terre des Hommes

 

 

 

Le 28 janvier 1910 correspond exactement au centième anniversaire du  pic de la crue de 1910 : la Seine atteint son niveau le plus haut avec une cote de 8,62 m et un débit de 2400 m3 d’eau par seconde (10 fois le débit normal).

Dans des articles précédents, sur l’inondation de caves du deuxième sous-sol, et la crue de 1910 vue par Jean Vidal,  nous vous parlions des risques de crue dans notre quartier.

En ce moment, le centième anniversaire de la grande crue de janvier 1910 est le sujet d’une exposition organisée par le Conseil général des Hauts de Seine. Vous pourrez visiter cette exposition :

> Du 28 janvier au 13 mars
A Boulogne-Billancourt
– Hôtel de Ville - 26, avenue André-Morizet.

> Du 26 janvier au 6 février
A Suresnes
– médiathèque : du 26 janvier au 6 février - 5, rue Ledru-Rollin.

> Du 20 janvier au 8 février
A Sèvres
– médiathèque : du 20 janvier au 8 février - 8, rue de Ville-d’Avray.

> Du 8 au 21 février
A Puteaux
- dans le hall du palais de la médiathèque, 122 rue de la République

 

 

 

Le site du Conseil Général des Hauts de Seine a aussi réalisé un dossier sur le sujet. Vous pouvez consulter le dépliant sur la crue de la Seine pour plus d’informations.

De nombreuses autres commémorations ont actuellement lieu entre autres à Paris.

Nous vous rappelons que vous pouvez consulter la carte de vigilance “crues” sur le site du ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de la Mer.

S.P.R.

Caves du second sous-sol

Vendredi 20 février 2009

“Je ramenais au jour une ville engloutie et qui devenait vivante.”

Antoine de Saint Exupéry    Courrier Sud

Petits rappels sur la saga des caves du second sous-sol.

En 2001, une remontée de la nappe phréatique avait inondé le second sous-sol. Le parking et les caves étaient restés plusieurs mois sous plusieurs centimètres d’eau.

Les locataires ayant une cave inondée avaient sauvé ce qui pouvait l’être.

Les automobilistes avaient renoncé à garer leur véhicule au second sous-sol.

Les ascenseurs du 288 ne pouvaient plus descendre jusqu’au second sous-sol car les fosses étaient aussi inondées.  Il y avait risque d’électrocution. L’arrêt avait duré plusieurs mois.

Nous n’avions pas été les seuls à subir de telles inondations. Plusieurs résidences dans le quartier avaient aussi connu ce problème.

Le problème était d’une telle ampleur que la presse s’était intéressée à nos malheurs. Le Parisien avait écrit deux articles et FR3 était venue interviewer le président de l’association de l’époque, Richard Neuillet, dans le cadre de l’émission Vérité oblige.

Notre bailleur avait décidé de supprimer les caves du second sous-sol. Elles avaient alors été murées.

Les locataires ayant perdu l’usage de leur cave ont depuis demandé qu’on leur rende une cave. Nous avons toujours œuvré en ce sens. Depuis plusieurs années, le problème des caves a été une priorité pour notre association. Nous avions suggeré deux solutions à notre bailleur. L’une était d’allouer une cave d’un appartement qui se libérait à un locataire ayant perdu la jouissance de sa cave. Cette solution était compliquée administrativement pour notre bailleur : il fallait ôter un m2 de surface corrigée d’un appartement pour le réintégrer dans un autre. Cela nécessitait certaines démarches assez lourdes. L’autre solution (qui nous paraissait la meilleure) était de restituer tout simplement les caves aux locataires.

La constance a du bon. Aujourd’hui, les caves du second sous-sol vont être réhabilitées et restituées aux locataires qui le désirent.

Nb : la cave fait partie des équipements de nos appartements. Chaque équipement possède une équivalence en surface corrigée. (la surface réelle est la superficie du logement. La surface corrigée est calculée en incluant l’équivalent, la correspondance en m2 des éléments de confort du logement. C’est la surface corrigée qui sert à calculer le montant du loyer). Une cave correspond à un m2 de surface corrigée. Les locataires qui voudront récupérer leur cave verront le m2 de surface corrigée correspondant à la cave réintégré dans le montant de leur loyer.

Certains locataires pensent que ce m2 de surface corrigée n’a jamais été soustrait dans leur quittance de loyer. L’association s’était assuré que cela avait été bien effectué. Cela a bien été fait en 2004 mais était quasiment passé inaperçu : cela avait été soustrait sur la quittance de février, juste après l’augmentation de loyer de janvier. A quelques centimes près, les loyers des locataires concernés n’avaient donc pas changé.

Les risques d’inondations à l’avenir.

Nous nous situons dans une zone inondable. Notre résidence se trouve dans une boucle de la Seine. La nature géologique du terrain favorise la remontée de la nappe phréatique (Asnières s’est construite sur une zone marécageuse), nous nous trouvons non loin de l’ancien Fossé de l’Aumône. De nombreux travaux ont été effectués ces dernières années qui ont restreint l’espace disponible pour la nappe phréatique (autoroute, métro…)

Nous ne sommes donc pas à l’abri et connaîtrons certainement de nouveau ce problème. C’est pourquoi notre bailleur recommande de ne placer aucun objet de valeur dans les caves du second  sous-sol.

Ainsi que nous pouvons le voir sur les cartes postales datant de 1910, notre quartier avait déjà été victime des eaux de la Seine. Lors de la grande crue de 1910, l’eau avait envahi le quartier nord.

Notre ami Jean Vidal, fin connaisseur de l’histoire d’Asnières, nous a expliqué que l’eau avait commencé à sortir par les égouts à l’angle de l’avenue d’Argenteuil et de la rue du Ménil. Tout près de chez nous…

A tous les échelons (national, régional…) des dispositifs de prévention et d’information, d’alerte ont été élaborés. comme vigicrues Vous trouverez des renseignements sur le site du conseil général des Hauts de Seine ou de la préfecture des Hauts de Seine.

Une plaquette a été réalisée conjointement par le conseil général des Hauts de Seine et par la préfecture des Hauts de Seine.

Sur le site de la Direction Régionale de l’Environnement vous trouverez non seulement des informations sur les risques de crues, des informations régulières sur les niveaux d’eau de la Seine et de ses affluents mais aussi les reproductions de nombreux documents datant de la grande crue de 1910.

Les risques de nouvelles inondations sont réels mais restent exceptionnels. Jusqu’à ces inondations de 2001, notre résidence n’avait jamais connu un tel phénomène (notre résidence a été construite en 1974). Quelques mesures de prudence permettront de retrouver enfin un usage quasi normal des caves du second sous-sol.

SPR

Barrière parking aérien

Vendredi 13 février 2009

Nous venons de subir deux pannes avec la barrière du parking aérien. Même si ces pannes sont exceptionnelles, elles ont occasionné des gênes certaines.

Les pannes étaient dues au verrou  qui s’était bloqué en position fermée empêchant toute ouverture de la barrière.

Un système de ventouse (tel celui que nous avions avant) aurait permis un débrayage manuel. Les véhicules n’auraient donc pas été bloqués.

Nous avons demandé à notre bailleur de nous indiquer les avantages et les inconvénients des deux systèmes. Voici la réponse de la gestionnaire de LF :

“Enfin, et concernant votre demande sur les avantages et inconvénients de l’installation d’une ventouse à la place d’un verrou sur la barrière, la société KONE nous a expliqué qu’avant l’installation du verrou une ventouse était en place et qu’il y avait sans cesse des soucis de vandalisme et abus quant à l’utilisation des emplacements de stationnements  par des personnes extérieures à la résidence.

De plus, le responsable nous a aussi expliqué que la ventouse avait plus d’inconvénients que le verrou car celle-ci peut facilement être vandalisée, fracturée, que ce système fait énormément de bruit et qu’il est moins sécurisant pour la résidence. Ce sont tous ces inconvénients qui nous ont conduit il y a quelques années à changer ce système par un verrou.”

Le système du verrou semble donc être  plus sécurisant, plus sûr en ce qui concerne le risque de pannes et plus confortable (bruit).

A noter, nous avions eu déjà un problème de barrière bloquée en 2008. Il ne s’agissait pas d’une panne fonctionnelle : la barrière avait été faussée après qu’un véhicule l’ait emboutie.

S.P.R.