Archive pour la catégorie ‘Ecologie’

Les ambassadeurs du tri

Mercredi 2 novembre 2011

Les ambassadeurs du tri de la ville d’Asnières sont intervenus sur notre résidence afin de mieux nous faire connaître les méthodes de tri sélectif.

Après des visites individuelles auprès des locataires, ils ont installé leur tente sur le parvis. Les enfants de la résidence ont pu participer à des jeux leur permettant de vérifier ou d’appronfondir leurs connaissances en la matière.

En cas de doute, n’hésitez pas à vous renseigner auprès du gardien ou de l’association.

Vous trouverez de nombreuses informations sur le site d’Eco-Emaballages, de la ville d’Asnières et sur le blog de l’association.

S.P.R.

Baromètre du prix du gaz de la C.L.C.V.

Mercredi 2 novembre 2011

Sur le site de la C.L.C.V. vous pouvez consulter un baromètre du prix du gaz.

Ce baromètre est intéressant pour le consommateur (pour comprendre les évolutions de sa facture, mieux gérer sa consommation…).

Ces informations sont aussi intéressantes pour mieux juger les dépenses énergétiques dans nos charges (chauffage et eau chaude sanitaire) et comprendre la nécessité d’économies d’énergie.

Télévision : passage au numérique le 8 mars

Mercredi 26 janvier 2011

Le 8 mars prochain, notre région passera au numérique.

Il s’avère donc urgent de s’assurer de la compatibilité de nos équipements.

Les téléviseurs achetés  après le 1er mars 2008 doivent normalement être équipés d’un décodeur TNT intégré. Dans ce cas, vous n’aurez pas besoin d’acheter un équipement complémentaire.

Il n’est pas utile de jeter son ancien poste de télévision ! Il suffit d’acheter un décodeur TNT (une vintaine d’euros pour les premiers prix).

Un simple branchement avec une prise péritel doit suffire à recevoir la TNT.

Dans certains cas (personnes âgées, ressources insuffisantes), des aides financières et techniques peuvent être accordées

Pour de plus amples renseignements, vous pouvez consulter le site tous au numérique ou téléphoner au  0 970 818 818 (du lundi au vendredi, de 8h à 21h, prix d’un appel local).

 

Rappel : dans le cas où vous choisisseriez de changer votre poste de télévision, n’oubliez pas que vous devez rapporter votre ancien poste au magasin où vous allez acheter le nouveau téléviseur. Votre ancien poste sera alors recyclé. Ceci est gratuit. Plus d’informations ici.

Et si nous réduisions nos déchets grâce au compostage ?

Mardi 2 novembre 2010

Une locataire de la résidence nous a fait part d’une proposition que nous avons transmise à notre bailleur : installer des bacs à compost sur la résidence.

Pour ceux qui ne seraient pas férus de jardinage, le compostage consiste à collecter et faire alterner les déchets ménagers  organiques (épluchures de légumes, de fruits, marc de café, sachets de thé, coquilles d’oeuf, essuie-tout…) et des tailles de végétaux (ceux de la résidence) et de les entasser dans des bacs. Une décomposition permettra d’obtenir de l’humus, du terreau. Vous trouverez des informations sur le site de l’ADEME.

Ce terreau pourrait alors servir à enrichir la terre des plate bandes de la résidence et bien sûr bénéficier aux locataires ayant apporté des matières premières pour enrichir la terre de leurs jardinières. Et évidemment cela permettrait de réduire la quantité de déchets collectés par la ville.

Le compost obtenu pourrait favoriser
la pousse des plantes de la résidence

Cette idée peut paraître surprenante en milieu urbain. Pourtant cette pratique se développe de plus en plus.  Ainsi, les villes de Rennes et Paris favorisent le compostage en pied d’immeuble. Un blog, compost à Paris, est dédié au compostage parisien. Vous y trouverez de nombreux exemples d’initiatives.

Ainsi,  François Dagnaud, adjoint au maire chargé de la propreté et de la gestion des déchets de la ville de Paris estime que “dans nos poubelles, la moitié des déchets organiques peuvent être recyclés sous forme de compost, ce qui permettrait d’alléger de 70 kilos par an et par habitant la poubelle  dédiée aux ordures ménagères” 

 

Vous pourrez trouver des informations sur le site du Réseau Compost Citoyen (au niveau national, ce réseau regroupe les différents acteurs du compostage itoyen en France et a pour objectif qa promotion.

Ce projet est à priori peu coûteux, écologique et vecteur de lien social. Nous espérons qu’il recevra un avis favorable de la part de notre bailleur et par la suite du plus grand nombre possible de résidents.

    

La même plate bande photographiée en 2006 et en 2009 : entre les deux prises de vue,
des végétaux ont été replantés et la terre a été enrichie par du compost.

S.P.R.

Communiqué de la CLCV : recyclage des appareils électriques et électroniques :La CLCV a de nouveau enquêté

Jeudi 20 mai 2010

 La CLCV vient de rééditer son enquête sur la collecte des DEEE ménagers (déchets d’équipements électrique et électroniques). Rappelons que lors de l’achat d’un appareil électrique ou électronique neuf, le distributeur doit accepter de reprendre gratuitement un produit usagé du même type.

L’enquête 2010, menée par la CLCV, MV2 Conseil et Maximiles, montre que les consommateurs sont de plus en plus informés sur le dispositif : 90 % des personnes sondées connaissent l’éco-participation (88 % en 2009), 84 % connaissent la reprise du un pour un (81 % en 2009).

Le taux de reprise progresse en magasin (27 % de clients en ont bénéficié en 2010, contre seulement 14 % en 2009). Par contre, alors même que les achats sur Internet continuent de se développer, les sites marchands ne mettent pas ou pas assez en avant la possibilité de reprendre un appareil usagé (seules 11 % des personnes interrogées se sont vues proposer la reprise d’un équipement en 2010, chiffre en baisse par rapport à un chiffre déjà faible en 2009 : 13 %). La CLCV appelle les professionnels du secteur à progresser sur cette question, et leur rappelle qu’il s’agit d’une obligation légale !  

Par ailleurs, les consommateurs marquent à 83 % leur attachement à une éco-participation visible et séparée du prix du produit, alors même que le principe de cette visibilité risque d’être remis en cause au niveau européen. La CLCV appelle le gouvernement français à soutenir le dispositif actuel, qui est à la fois transparent et pédagogique pour le consommateur.

Que faire si une ampoule fluocompacte se casse ?

Dimanche 11 avril 2010

 “Ce qui sauve c’est de faire un pas. Encore un pas. C’est toujours le même pas que l’on recommence…”
Antoine de Saint Exupéry        (Terre des hommes)

Les ampoules à incandescence auront bientôt totalement disparu des linéaires. Vous pouvez consulter le calendrier ici.

Nous équipons au fur et à mesure nos luminaires de lampes fluocompactes. Pour les jeter, il suffit de les rapporter dans un magasin qui assure la collecte. Mais il peut arriver que l’on casse une de ces ampoules.

Comme elles contiennent du mercure  il est recommandé d ’aérer la pièce pendant un quart d’heure minimum en quittant la pièce.

Si l’ampoule s’est cassée dans le luminaire, il ne faut pas oublier de débrancher la lampe avant d’ôter les restes de l’ampoule.

 

Après s’être protégé les mains avec des gants, les morceaux de verre peuvent être ramassés à l’aide d’un carton ou de papier. Les petits morceaux et la poudre de mercure peuvent être attrapés avec l’aide d’un ruban adhésif ou d’un essuie tout humide.

Les débris doivent être mis dans un sac plastique et jetés dans la poubelle normale ou mieux apportés au camion collectant les dechets ménagers toxiques..

Il est déconseillé d’utiliser un aspirateur : la poudre de mercure serait envoyée dans l’air ambiant (idem avec un balai ou une balayette).

Sur le site malampe.org (site de Recylum, éco-organisme agréé pour la collecte et le recyclage des ampoules usagées) vous trouverez un moteur de recherche qui vous indique où se situent les magasins assurant la collecte les plus proches. 

Vous trouverez aussi de nombreuses informations sur le site des associations française de l’éclairage.

S.P.R.

Tri sélectif : une fiche récapitulative

Vendredi 26 février 2010

La mairie d’Asnières a mis en ligne une fiche qui récapitule grâce à des codes couleur comment trier nos déchets et où les jeter. Pour certains produits, il existe plusieurs possibilités, par exemple; une ampoule basse consommation peut être apportée au camion triadis (camion de collecte des déchets dangereux), à la déchetterie ou rapportée au lieu d’achat.

Ce memento n’est évidemment pas exhaustif et ne prend pas en compte certains cas particuliers (par exemple, les pots de yaourts en verre doivent être jetés logiquement dans le bac vert alors que les pots de yaourt en terre cuite -non recyclables- doivent être jetés dans le bac grenat destiné aux ordures ménagères).

Pour plus de renseignements, vous pouvez effectuer une recherche dans notre rubrique écologie. N’hésitez pas en cas de doute à vous renseigner auprès de l’association, de la mairie ou de notre gardien.

S.P.R.

Tri sélectif : que faire de son vieux téléphone portable ?

Lundi 15 février 2010

“On s’élargit par la découverte d’autres consciences.”

Antoine de Saint Exupéry        Terre des Hommes

Cette année va voir le commencement de l’harmonisation des chargeurs de téléphones portables. Un modèle de chargeur répondant à la norme UCS (Universal Charging  Solution) et compatible via une connexion micro-USB sera fourni avec les téléphones. De plus, ces chargeurs seront moins consommateurs d’énergie. Cette mesure fait suite à un accord entre la commission européenne et la plupart des fabricants de téléphones portables.

Cette unification va permettre une importante diminution des déchets électroniques puisque nous n’aurons plus à jeter systématiquement nos chargeurs lors de l’achat d”un nouveau modèle de téléphone.

Demeure la question d’où jeter nos anciens téléphones portables devenus obsolètes.

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Ce logo signifie que l’appareil est recyclable et ne doit donc pas être jeté avec les ordures ménagères. L’appareil doit faire l’objet d’une collecte sélective en vue de sa réutilisation, de son recyclage ou de sa valorisation. S’il contient des substances susceptibles de nuire à l’environnement, celles-ci seront éliminées ou neutralisées.

 

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Il ne faut pas jeter un téléphone portable dans la poubelle car il  est constitué de 0.5 % de matièraux dangereux pour notre santé et pour l’environnement (plomb, mercure, cadmium, antimoine, arsenic…). Trois batteries de mobile suffisent à polluer une piscine olympique. Sur 20 millions de mobiles jetés chaque années, seul 8% sont recyclés.

Plutôt que d’oublier nos vieux téléphones dans un tiroir, nous pouvons les donner ou les revendre.

Quand nous rachetons un nouveau modèle, le vendeur doit nous proposer de reprendre -gratuitement- notre ancien modèle. C’est la règle du “un pour un”. Vous trouverez des informations sur le site de collectons.org. Les grands opérateurs téléphoniques  mettent à disposition des bornes de collecte.

Des entreprises d’insertion comme les ateliers du bocage (faisant partie d’Emmaüs) récupèrent les anciens téléphones portables pour les recycler (NB les données personnelles qui peuvent être contenues dans les appareils sont effacées). Les appareils qui peuvent être remis en état sont revendus à bas prix au profit d’Emmaüs, pour les appareils irréparables, les composants sont recyclés ou valorisés. 

Vous pouvez aussi vous adresser au réseau Envie qui retraite les Déchets d’Equipements Electriques et Electroniques (DEEE ou D3E). Envie a un point de collecte à Gennevilliers.

Vous pouvez lire un dossier très complet sur ce sujet sur le site de l’AREHN (Agence Régionale de l’Environnement de Haute Normandie)

L’ADEME a réalisé une étude sur le cycle de vie d’un téléphone portable afin d’en évaluer l’impact environnemental.

Vous pouvez aussi calculer l’impact environnemental de votre téléphone portable sur le site de l’ADEME.

 S.P.R.

Tri sélectif : les médicaments non utilisés (MNU)

Samedi 6 février 2010

 « Préparer l’avenir, ce n’est que fonder le présent. Il n’est jamais que du présent à mettre en ordre. À quoi bon discuter cet héritage ? L’avenir, tu n’as pas à le prévoir mais à le permettre.»

Antoine de Saint Exupéry          Citadelle

Dans nos armoires à pharmacie nous avons tous des médicaments soit prescrits par nos médecins soir achetés sans ordonnance en pharmacie.

Il est recommandé de trier deux à trois fois par an son armoire à pharmacie de façon à éliminer les médicaments périmés et les médicaments pour lesquels le traitement est terminé.

Ce tri est une sécurité supplémentaire. tant pour les enfants que pour les personnes âgées (risques de confusion).  En 2004, il y a eu 600 décès par intoxication médicamenteuse.

Les médicament non utilisés (MNU) font partie des déchets ménagers dangereux.

 

Il ne faut jamais jeter des médicaments dans les canalisations (WC, lavabo)

ou dans la poubelle des ordures ménagères.

 

Ces médicaments se retrouveraient dans les eaux des rivières, des nappes phréatiques… créant une pollution environnementale (cf communiqué de l’Académie Nationale de Pharmacie).

 

Il  suffit de rapporter à la pharmacie les médicaments

non utilisés (avec leurs emballages),

qu’ils soient périmés ou non.

 

S’il reste une substance active (comprimé, gélule, pommade, sirop, collyre…) dans le contenant, il faut rapporter l’emballage contenant le médicament à la pharmacie.

Si tous les médicaments ont été utilisés, il faut jeter l’emballage vide dans le container de tri sélectif correspondant (une boîte en carton et la fiche posologie doivent être jetés dans le bac bleu par exemple).

Depuis le 1er janvier 2009, la loi veut que les médicaments non utilisés (MNU) ne peuvent plus être collectés et redistribués dans le cadre d’actions humanitaires (même si les médicaments ne sont pas périmés). Les pharmaciens ont l’obligation légale de collecter gratuitement les médicaments -périmés ou non- rapportés par les particuliers.    

Les médicaments  vont être collectés par la filière Cyclamed qui assurera leur destruction en toute sécurité. Les médicaments sont incinérés dans le respect des règles environnementales, l’énergie libérée sera utilisée pour éclairer et chauffer des logements. Ainsi 12530 tonnes de MNU ont été collectés et valorisés en 2008 par Cyclamed.

 

En cas de doute, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre pharmacien.

S.P.R.

Des “monstres” encombrants…

Mercredi 3 février 2010

“Ce qui sauve, c’est de faire un pas. Et encore un pas.”

Antoine de Saint Exupéry   Terre des Hommes

 

Le premier mercredi de chaque mois a lieu la sortie et le ramassage des encombrants. Régulièrement, tous ces objets dont nous nous sommes débarrassé  encombrent et débordent sur le trottoir.

Encore une fois, c’est un énorme volume qui  a été sorti ce mercredi. Malheureusement, des gens viennent fouiller sans aucun soin ce que nous avons jeté et laissent un désordre important. rendant souvent la circulation sur le trottoir et l’accès aux parkings souterrains mal aisés, voire difficiles.

Nous pourrions facilement diminuer le volume des déchets sortis aux encombrants en effectuant un meilleur tri :

- jeter les papiers et cartons dans le bac bleu

- donner les vêtements, chaussures… dont nous ne voulons plus à un organisme tel la Crois Rouge ou Emmaüs

- donner les jouets à un organisme tel le Secours Populaire ou Emmaüs

- penser à faire reprendre l’électroménager usagé quand nous rachetons un nouvel équipement (les magasins ont une obligation de reprise “un pour un” lors de l’achat)

- donner (ou vendre) le mobilier encore utilisable.

Les encombrants seraient alors  considérablement réduits (ce qui à la longue et collectivement aurait une incidence sur nos impôts) et nous n’aurions plus à  subir (et faire subir) des trottoirs fortement encombrés.

S.P.R.