Archive pour la catégorie ‘Nos voisins’

Défilé de mode de Babela Design

Jeudi 13 janvier 2011

N’hésitez pas à aller admirer les créations de notre voisine Carine Babela dans le cadre des Veillées du Château le vendredi 14 janvier à 20h00.

Mercredi 26 mai 2010

Vous aviez eu l’occasion d’admirer les talents d’artiste de Jean Vidal dans un article du Courrier de Saintex. Aujourd’hui, vous pourrez admirer une de ces oeuvres dans notre salle. En effet, Jean Vidal nous a gentiment offert une de ses statues.

Jean Vidal

Il s’agit d’une sculpture en terre cuite reproduisant une tête olmèque du Pérou.

                                            

Un grand merci à notre ami Jean Vidal.

 

 

Nos voisins ont du talent : Carine Babela

Vendredi 2 avril 2010

“Le bonheur, quand tu as créé, t’est accordé comme réponse.”

Antoine de Saint Exupéry

Nous continuons de vous présenter nos talentueux voisins. Aujourd’hui, vous allez faire connaissance d’une jeune artiste de 27 ans aux multiples talents.

Carine Babela est à la fois modèle, styliste de mode, animatrice de télévision et chanteuse. Elle a réussi à faire cohabiter harmonieusement ces différentes professions grâce à un dénominateur commun la passion.

Sa vocation musicale remonte à son enfance en République Démocratique du Congo. Carine Babela aimait alors écouter depuis les coulisses son oncle chanteur et guitariste pendant les répétitions et les spectacles.

Au fil des années, ses goûts musicaux se sont affinés. Carine a su mettre ses réelles qualités vocales au service des chansons qu’elle écrit et compose. C’est avec le rap américain qu’elle s’épanouit à l’instar de chanteuses qu’elle apprécie : mc Lyte, ,Missy Elliot, da Brat. Mais son modèle reste avant tout le rappeur américain Method Man.

Sa sensibilité l’a amenée à écrire non pas sur la banlieue ou la police comme c’est souvent le cas dans le rap mais sur la famille, le mal être des adolescents, la solitude. Son premier disque « Avec le temps » est sorti en avril 2008 chez le label OSP. Elle est l’auteur de onze des quatorze titres featuring Mokobe Kaysha,Ben J (Bisso na Bisso), Chake,Solale.

Babela se produit régulièrement sur scène. Elle a ainsi « fait son show » en février 2008 accompagnée d’artistes tels que Leman, Kachuser et Kru.

A l’aise sur scène, face à un public, il arrive que Carine anime aussi des émissions de télévision. C’est certainement son expérience de modèle qui l’a aidée à avoir une telle prestence sur scène.

C’est par le dessin que Carine Babela est venue au stylisme de mode.

Elève au lycée Auguste Renoir d’Asnières, Carine Babela, autodidacte, a eu à s’inscrire dans un atelier artistique. Elle a opté pour le dessin. Commençant par des portraits, son goût pour la mode l’ a rapidement amenée à dessiner des modèles de vêtements.

Décidée, passionnée et volontaire, elle a choisi d’affronter les difficultés du monde de la mode pour en faire son métier. Grâce à sa persévérance, elle a réussi à lancer sa propre marque « Babeladesign  » à l’âge de 23 ans en 2005.

Le soir elle aime à laisser libre cours à son imagination dans ses cahiers en dessinant des modèles où elle réussit à intégrer harmonieusement ses inspirations africaines mais aussi indiennes à des lignes inspirées des années 1960 ou plus modernes avec le style des années 2000.

Le choix des matières est souvent une évidence pour Carine. Tout en dessinant elle sait déjà quel sera le tissu qu’elle utilisera pour réaliser son modèle.

Le premier grand défilé présentant sa collection s’est déroulé dans la salle des mariages de l’Hôtel de Ville d’Asnières. Ce défilé a remporté un franc succès. Parmi le public se trouvaient deux artistes qui ont choisi de porter les créations de Babela : Phil Darwin et Cyrielle.

Ce défilé a remporté un franc succès ce qui a conforté Carine Babela dans sa volonté de poursuivre parallèlement sa carrière de styliste et sa carrière de chanteuse malgré toutes les difficultés.

Si vous désirez découvrir l’univers artistique de Carine Babela, n’hésitez pas (pour ceux qui ont internet) à aller visiter ses blogs. Vous découvrirez alors toutes les facettes de ses talents.

Et pour conclure, laissons la parole à Babela, car la Miss est là…

« Anesthésies »
« J’ignore quel nom te donner je ne sais même pas comment t’appeler ni même où t’étais
Mon esprit n’a même pas de souvenir ni d’image assez forte pour pouvoir pleurer
Trop absent pour m’avoir manqué trop d’énigme trop de vide maintenant complet
Je compris pourquoi elle pleurait mais j’vais pas ressasser ce qui aurait pu nous blesser
Anesthésie comme si le temps m’avait aidé comme si j’avais changé
Comme si je n’attendais plus rien de lui pour arrêter de saigner … »

Si vous désirez en apprendre plus sur l’univers artistique de Carine, vous pouvez alle visiter ses blogs sur  dailymotion, myspace ou un autre myspace, youtube ou skyrock.

La recette de Marie : gratin de poulet forestier

Vendredi 26 mars 2010

pour 4 personnes : 4 cuisses de poulet 700 g de pommes de terre à chair farineuse – 200 g de champignons de Paris – 1 oignon – 80 g de comté – 15 cl de lait – 20 g de beurre – 2 cuillères à soupe de crème épaisse – 15 cl de bouillon de volaille – 2 cuillères à soupe d’huile – 1 brin de thym – sel et poivre

Dans une cocotte, faites dorer dans l’huile chaude pendant 10 minutes les cuisses de poulet salées et poivrées avec les champignons et l’oignon émincés. Ajoutez le bouillon et le thym et laisser cuire 20 minutes environ.

Faites cuire les pommes de terre pelées à l’eau salée environ 25 minutes. Laissez tiédir le poulet. Retirez la peau, désossez les cuisses et effilochez la chair. Mélangez-la avec les champignons et la crème. Répartissez dans le plat.
Passez les pommes de terre au moulin à légumes (à défaut écrasez-les avec une fourchette). Incorporez le lait chaud et le beurre. Salez, poivrez. Versez sur le poulet et parsemez de comté râpé. Faites dorer au four préchauffé thermostat 6/7 (200° C) 20 minutes.

Asnières en fête autrefois, souvenirs de Jean Vidal

Vendredi 26 mars 2010

Une maison voisine, où l’on dansait, répandait quelques mélodies,

qu’apportait le vent, car c’était l’heure des plaisirs et du repos.”

Antoine de Saint Exupéry            Vol de nuit

L’Alcazar, à ses débuts vers 1900, était un café concert. Maurice Chevalier s’y est produit. Il y avait cinq cinémas à Asnières. C’était la distraction la plus populaire.

A l’Eden Théâtre qui se situait Grande Rue Charles de Gaulle passaient des opérettes. Par la suite, cet établissement est devenu un cinéma.

A la libération, les chars allemands ont tiré trois obus: un est tombé sur l’école sainte Geneviève, un autre sur une boutique, le troisième sur l’Eden Théâtre. Les bals étaient une grande attraction pour les jeunes et les adultes. Il y en avait un sur les quais de Seine qui fut fermé après qu’un crime y eut été commis. Le quartier était mal fréquenté et déjà des bandes rivales entre Clichy et les Quatre Routes se battaient sur le pont de Clichy et allaient jusqu’à balancer les adversaires dans la Seine.

L’été, des forains venaient monter leurs manèges et leurs baraques de tir, de confiseries, etc. Les guimauves, barbe à papa, berlingots et autres pains d’épice étaient fabriqués sur place. Les fêtes foraines s’installaient sur les bords de Seine, place du Capitaine Bossard.

Il y avait de nombreux cafés où on pouvait aller guincher. Les danses à la mode étaient alors la java, la valse…

L’usine de dentifrice Gyps possédait une fanfare qui participait au défilé du 14 juillet en faisant le tour d’Asnières. De la mairie par l’avenue de la Marne, la fanfare traversait Bécon, redescendait par la rue des Bourguignons jusqu’à la place Voltaire. C’était pour la plus grande joie des jeunes qui pouvaient danser sur les places.

Nombreux étaient ceux qui se retrouvaient dans la soirée au bal des sapeurs pompiers qui était très prisé.

Jean Vidal

De l’intérêt historique… d’une plaque d’égoût ! par Jean Vidal

Jeudi 28 janvier 2010

“La guerre n’est pas une aventure. La guerre est une maladie. Comme le typhus.”

Antoine de Saint Exupery        Pilote de guerre

 

La ville d’ Asnières a été victime de nombreux bombardements pendant la seconde guerre mondiale.

Certaines traces sont encore visibles. Ainsi, regardez les plaques d’égoût qui se trouvent au niveau du 352 avenue d’Argenteuil, à l’angle de l’avenue d’Argenteuil et de la rue du Ménil et à l’angle de l’avenue Saint Joseph et de l’avenue d’Argenteuil. Ces plaques présentent d’importantes traces de chocs. Il s’agit de traces d’obus.

En 1943/1944, pendant les alertes aériennes, des canons sur plate forme, situés dans le dépôt S.N.C.F. de la Porte de Clichy ou au Pont de Levallois, défendu par la D.C.A. allemande tiraient sur les avions alliés.

Les traces visibles sont dûes à des éclats éparpillés après explosion.

En 1945, lors du débarquement allié, l’avenue d’Argenteuil devint une route stratégique militaire: c’était le seul itinéraire de la Normandie vers l’Allemagne via Paris (la plupart des Ponts sur la Seine étaient coupés).

 

La recette de Fabienne : le blanc manger

Mardi 26 janvier 2010

 

Fabienne Vidal

Ingrédients

1 litre de lait entier

1 boîte de lait de coco

4 feuilles de gélatine

200 g de sucre

1 sachet de sucre vanillé

Faire ramollir les feuilles de gélatine dans l’eau froide. Mélanger le lait de coco et le lait entier et les faire chauffer à feu doux dans une casserole. Ajouter le sucre et le sucre vanillé. Dès les premiers frémissements ajouter les feuilles de gélatine préalablement égoutées. Faire chauffer sans bouillonnement et en remuant constamment pendant 2 minutes. Laisser tiédir quelques instants puis verser dans des ramequins individuels. Laisser refroidir 4 heures dans le réfrigérateur. Servir démoulé ou directement dans les ramequins.

Le blanc-manger peut être accompagné de coulis de fruits rouges, de compote d’abricot, de miel…

La recette de Paulette : petits fours à la poudre d’amande

Samedi 16 janvier 2010

 250 g de poudre d’amande

125 g de sucre en poudre

3 blancs d’oeufs battus en omelette

parfum au choix : vanille, zeste de citron…

un bouchon de rhum

Mélanger tous les ingrédients et former des petites boules de pâte. Les rouler dans du sucre glace.

Cuire au four thermostat 7 pendant 5 minutes. Retirer du four dès que les boules commencent à se fissurer.

La recette de Lurdes : bolos de bacalaho

Samedi 16 janvier 2010

Pour réaliser cette recette portugaise de boulettes de morue, il faut:

  • 500 g de morue (ou de cabillaud)

  • 1 kg de pommes de terre

  • 1 ou 2 œufs

  • persil, poivre

Dessaler la morue dans de l’eau ou du lait.

Éplucher les pommes de terre.

Les faire cuire avec la morue, comme pour une purée.

Quand les pommes de terre sont cuites, les égoutter avec la morue et écraser ensemble les pommes de terre et la morue.

Incorporer un œuf pour lier le mélange. En fonction de la consistance, il est possible de rajouter un deuxième œuf.

Poivrer, ajouter du persil haché. (il ne faut surtout pas saler, la morue étant suffisamment salée).

Selon le goût, on peut ajouter de l’oignon ou de l’ail haché.

A l’aide de deux cuillères, former des croquettes ou des petites quenelles.

Faire chauffer de l’huile et faire frire .

Déguster avec une salade verte ou une salade de haricots.

 

Ces bolos de bacalaho peuvent être préparés à l’avance et être congelés.

 

 

 

La recette de Charlotte : le gâteau au yaourt

Samedi 16 janvier 2010

Ingrédients :

- 1 pot de yaourt nature

- 3 pots de farine

- 2 pots de sucre

- ¾ de pot d’ huile

- 1 sachet de levure

- 1 sachet de sucre vanillé

Battre les oeufs et le sucre. Ajouter l’ huile, la farine et la levure. Mélanger.

Faire préchauffer le four thermostat 7 (210°) et faire cuire pendant environ 25 minutes.

Ce gâteau très facile à réaliser, même par les enfants peut être cuit avec des morceaux de pommes, des pépites de chocolat.

Il peut être nappé d’ une ganache au chocolat (mélange de chocolat noir et de crème frâiche) à l’ occasion d’ un anniversaire…