Archive pour la catégorie ‘Non classé’

Fête des voisins : édition 2011

Lundi 16 mai 2011

Retenez dès à présent  la date du vendredi 27 mai.

Nous organiserons notre traditionnelle fête des voisins.

Comme tous les ans, il suffit d’apporter un plat, une boisson. Tout est mis en commun pour partager un agréable moment de convivialité (et de délicieux mets…).

Cette année nous vous préparons une surprise. La soirée sera musicale et bien animée…

N’oubliez pas la fête de Noël !

Mardi 30 novembre 2010

Samedi à partir de 14h30, nous accueillerons les enfants de la résidence pour notre traditionnelle fête de Noël.

A 14h45 précises débutera le spectacle Ciel les Martiens. Merci de ne pas arriver en retard afin de ne pas perturber le bon déroulement de la pièce.

A la fin du spectacle, les artistes discuteront avec les enfants.

Ensuite, le représentant du Père Noël viendra distribuer le traditionnel ballotin de friandises.

Les enfants pourront jouer à différents jeux (pêche à la ligne, chamboule tout, lancer d’anneaux…)

Enfin, nous partagerons un goûter. Les parents qui le souhaitent peuvent participer en apportant un gâteau.

A samedi et venez nombreux !

Communiqué de presse de la CLCV du 19 novembre 2010 : 19 novembre 2010 Elections HLM : C’est parti ! 12 millions de locataires votent actuellement

Samedi 20 novembre 2010

Les élections HLM ont débuté ce lundi 15 novembre et s’achèveront mercredi 15 décembre. Un mois de vote pour les 4,2 millions de ménages vivant en habitat social qui vont élire leurs représentants au sein des conseils d’administration des Offices publics de l’habitat, Sociétés anonymes d’HLM et Sociétés d’économie mixte.

Les administrateurs élus par les locataires participent, notamment, aux discussions et aux décisions relatives à la fixation des loyers, au respect des règles d’attribution des logements, aux travaux d’entretien et d’amélioration des logements et des bâtiments, aux charges locatives et au budget des organismes.

Ce scrutin est un moment fort d’expression démocratique, d’autant qu’il est un des rares ouvert à l’ensemble des locataires quelle que soit leur origine. Il se déroule cependant dans la plus grande indifférence des pouvoirs publics. A l’heure où les enjeux de citoyenneté, de vie civique, d’amélioration de la vie quotidienne dans les quartiers, sont reconnus par tous comme majeurs, les élections des administrateurs locataires sont organisées dans des conditions insatisfaisantes. C’est ainsi que l’on déplore l’absence de code électoral, le non respect par de nombreux bailleurs des engagements pris par leur fédération nationale, et surtout l’absence de toute campagne électorale nationale !

Alors que les discours officiels rappellent sans cesse l’exigence de restaurer un esprit citoyen dans les quartiers, l’information des locataires repose sur la seule énergie déployée par les bénévoles associatifs sur le terrain.

Nos administrateurs locataires témoignent

Anne, administrateur locataire CLCV depuis 8 ans :

Quel est votre rôle au conseil d’administration ?

Nous faisons valoir les intérêts des locataires et les positions de la CLCV sur tous les sujets abordés. Nous ne sommes pas seuls, nous travaillons avec l’association. Lors du conseil d’administration, on vote sur les augmentations de loyers, les travaux envisagés l’année suivante dans les logements, le bilan financier, etc. En tant que locataires, et aussi parce qu’on organise des réunions dans les quartiers, on connaît bien la réalité du terrain, on peut donc argumenter et essayer de rallier les autres administrateurs aux positions que l’on défend. Dans le cadre d’une réhabilitation de logements, on a obtenu que l’augmentation de loyers soit moindre que celle qui était prévue, on n’a pas lâché.

Avez-vous d’autres missions ?

Je participe aussi à la commission travaux en visitant des logements neufs avant leur mise en location. Si les pièces sont trop petites, les finitions laissent à désirer (tuyaux apparents), des équipements sont mal placés (chaudière face à la porte d’entrée, par exemple), je transmets mes remarques à l’organisme pour qu’il en tienne compte. Enfin, dans le cadre des plans de concertation locative, je participe aux discussions et livre mes arguments avant que les sujets (conventions d’utilité sociale, augmentation des loyers, choix des travaux dans les différents quartiers, etc.) ne soient soumis au conseil d’administration.

Gérard représente les locataires depuis 12 ans :

En tant qu’administrateur locataire, quelle est votre principale mission ?

Nous représentons les locataires au conseil d’administration et relayons leurs attentes sur les dossiers (construction, travaux, etc.). Nous faisons le point sur les locations, les impayés, les comptes… Au préalable, nous travaillons chaque dossier avec l’association. Nous faisons en sorte que la voix des locataires soit entendue, nous prenons position, rappelons les priorités.

Avez-vous d’autres responsabilités ?

Nous participons aussi aux commissions d’attribution de logements. Les dossiers sont préparés par les services du bailleur. Nous les étudions et donnons un avis. Il m’arrive aussi d’être appelé par des groupements de locataires pour intervenir auprès du bailleur au sujet de travaux. Récemment, nous sommes intervenus pour que les habitations soient équipées de compteurs individuels d’eau. Parfois, nous rencontrons aussi des locataires pour effectuer des contrôles de charges.

Plus d’information sur www.locataires.clcv.org

Mercredi 26 mai 2010

Vous aviez eu l’occasion d’admirer les talents d’artiste de Jean Vidal dans un article du Courrier de Saintex. Aujourd’hui, vous pourrez admirer une de ces oeuvres dans notre salle. En effet, Jean Vidal nous a gentiment offert une de ses statues.

Jean Vidal

Il s’agit d’une sculpture en terre cuite reproduisant une tête olmèque du Pérou.

                                            

Un grand merci à notre ami Jean Vidal.

 

 

Communiqué de la CLCV. Fourniture d’énergie : les consommateurs plébiscitent le maintien des tarifs réglementés et la réversibilité

Samedi 27 mars 2010

Alors que les sénateurs vont se pencher demain sur la proposition de loi déposée par Monsieur le Sénateur Poniatowski tendant à autoriser les consommateurs à retourner au tarif réglementé de l’électricité, la CLCV, MV2 conseil et Maximiles ont mené une enquête pour mieux connaître l’état d’esprit des consommateurs plus de deux ans après l’ouverture du marché de l’énergie à la concurrence.

Les français connaissent désormais largement (97%) la possibilité de choisir d’autres fournisseurs d’énergie qu’EDF et GDF. Ils souhaitent toutefois conserver leur offre au tarif réglementé et ce, bien que près de la moitié d’entre eux (43%) déclarent avoir été démarchés par un autre opérateur et que 66% estiment que le tarif libre est plus avantageux que le tarif réglementé.

Cet attachement au tarif réglementé est corroboré par le fait que, dans leur immense majorité, les consommateurs souhaitent le voir perdurer (94%) et estiment qu’il est nécessaire de leur garantir la possibilité de revenir au tarif réglementé quand ils souscrivent une offre à tarif libre (95%).

Devant ces attentes, la CLCV soutient la proposition de loi visant à rétablir la réversibilité pour l’électricité et à maintenir la possibilité de choix entre un tarif réglementé et un tarif libre pour les consommateurs qui emménagent. Elle demande par ailleurs aux parlementaires d’adopter l’amendement proposé sur ce texte instaurant la réversibilité pour la fourniture du gaz.

Semaine européenne de la réduction des déchets

Samedi 28 novembre 2009

 

“Tout progrès de l’homme est de découvrir.”

Antoine de Saint Exupéry

Du 21 au 29 septembre se déroule la semaine de la réduction des déchets. Pour la première fois, cette semaine devient européenne.

En Europe, en 2007, chaque individu a produit environ 522 kilos de déchets.Une étude de l’Agence Européenne de l’environnement prvoyait (en 2007) une augmentation de 33% des déchets municipaux (ou ménagers) d’ici à 2030 dans les quinze états membres les plus anciens de l’UE.

En France, un habitant produit par an 354 kilos d’ordures ménagères soit près d’un kilo et produit 594 kilos de déchets municipaux (encombrants + déchets verts + ordures ménagères) par an.

En 2006, ce sont 868 millions de tonnes de déchets qui ont été produits en France dont 31 millions de déchets ménagers.

Ces déchets ont bien sûr un coût financier (entre autre via nos impôts) et un coût écologique.

Un consommateur éco-responsable va produire environ 26 kilos de déchets par an en moins et économise de 400 à 500 euros.

En 2008, 44.5 kilos des déchets ont été recyclés par les ménages.

Nous pouvons réduire nos déchets :

• en achetant mieux : à produit équivalant, il faut choisir celui qui a le moins d’emballage. On peut aussi favoriser les éco-recharges et  les produits rechargeables

• en utilisant mieux : par exemple en étant attentif aux doses prescrites (par exemple pour la lessive) et en privilégiant les produits réutilisables (préférer un chiffon à une lingette jetable)

• en jetant moins : en donnant ou en vendant ce qui peut encore être utilisé plutôt que de jeter

Vous trouverez de très nombreuses idées faciles à mettre en application sur le site de la semaine européenne de la réduction des déchets.

Un exemple très parlant est celui des lingettes que beaucoup ont adoptées par souci d’économie de temps.

L’Observatoire Bruxellois de la Consommation Durable a comparé les coûts d’un nettoyage traditionnel et d’un nettoyage avec lingettes (pendant un an sur une surface de 100m2).

> utiliser éponges et serpillères avec des produits d’entretien ( 12.5 litres de produits d’entretien bio) et 1820 litres d’eau revient à 35 euros

> utiliser des lingettes (1530 sur un an) coûte 550 euros

Nettoyer avec des lingettes coûte donc 515 euros de plus par an que de nettoyer avec éponges, serpillèes, chiffons…

La consommation d’eau est négligeable comparée au surcoût environnemental dû à la production de déchets non recyclés, incinérés ou enfouis. Par contre, selon l’ADEME,  les lingettes produisent 50 kilos de déchets en moyenne par ménage.

S.P.R.

Ampoules basse consommation : choisir la température et le rendu de couleurs

Samedi 28 novembre 2009

Certaines personnes trouvent la lumière émise par les ampoules basse consommation trop froide.

Il est maintenant possible de choisir parmi plusieurs températures de couleur. Pour cela il suffit de chercher sur l’emballage un code à trois chiffres qui vous renseignera. Par exemple vous trouverez le code 827. Les deux derniers chiffres (27) indiquent que l’ampoule à une température de couleur de 2700 kelvins. Cela correspond à la température de couleur des ampoules à incandescence.

Plus la température de couleur va être élevée, plus l’ambiance va être froide. Une ampoule 829 donnera une ambiance moins chaleureuse qu’une aùmpoule 827.

Une ampoule halogène à une température de couleur de 3000 K.

Jusqu’à 3300 K, la lumière est considérée comme neutre; à partir de 5300 K la lumière est considérée comme froide, tirant sur le bleu.

En plus de la température de couleur, l’ampoule va jouer sur le rendu de couleurs, c’est-à-dire la façon dont l’ampoule restituera plus ou moins fidèlement les couleurs telles qu’on les voit à la lumière du jour. C’est un indice sur une échelle de 1 à 100 qui vous renseigne.

L’IRC (Indice de Rendu de Couleurs) le plus fréquent est de 80 %. Vous allez trouver cet indice dans le même code que la température de couleur : par exemple 827, le 8 représente un indice de rendu de couleurs de 80 %.

Pour un bon rendu de couleurs, il est recommandé que l’indice soit supérieur ou égal à 80 %.

En conclusion, si vous désirez une ampoule avec un rendu de couleurs proche de la lumière du jour  et avec une température de couleur proche d’une lampe à incandescence, il faut choisir ane ampoule portant le code 827.

S.P.R.

Déclaration commune CLCV, CNL et CGL sur le décret charges gardiens

Mercredi 24 juin 2009

Déclaration commune CLCV,

CNL et CGL

Le 8 juin 2009,

Objet : Décret charges gardiens 2008-1411 du 19 décembre 2008

Monsieur le Président,

Suite à la dernière réunion préparatoire au Conseil de Surveillance de Logement Français du 30 mars 2009, nous, représentants des locataires - administrateurs CLCV, CNL et CGL, avons mené une réflexion.

Vous prévoyez une augmentation de loyer par le biais d’un transfert de charges non récupérables vers le loyer logement, sous prétexte de respecter le nouveau décret de charges de gardiennage.

Afin de compenser cette perte nette sur votre budget 2009, et de récupérer les 35% de charges récupérables perdues pour Logement Français, vous souhaitez augmenter le loyer en diminuant les charges récupérables. C’est un moyen de contourner la réglementation en vigueur.

Le nouveau décret fait suite à un décret qui existait déjà (décret n° 87-713 du 26 août 1987), les locataires ne comprendraient pas pourquoi Logement Français souhaite désormais se mettre en conformité à leur dépens. Augmenter les loyers pour masquer la récupération de charges non récupérables n’est pas une solution au problème de charge de gardiennage.

A cet effet, nous réclamons le remboursement de l’indu sur les trois ou cinq années antérieures.

Une des solutions au problème, ne pourrait-elle pas être de revoir les tâches accomplies par les gardiens, afin qu’ils soient davantage au service des locataires et que leurs salaires puissent être mieux récupérés.

Après avoir consulté nos Confédérations respectives sur la proposition du directoire de Logement Français concernant la récupération des charges des gardiens, la CLCV, CNL et la CGL sont unanimes pour refuser catégoriquement la mise en place d’une telle pratique, à savoir une augmentation de loyer.

Position CLCV, CNL et CGL :

« .Après  les déclarations faites par les instances dirigeantes de Logement Français lors du Conseil de Surveillance, il apparaît clairement que Logement Français cherche à transférer dans les loyers des charges non récupérables. Il est hors de question que la CLCV, la CNL et la CGL cautionnent une telle pratique et que les locataires la subissent.

Les coûts indûment payés par les locataires ne doivent pas être inclus dans le loyer, mais supprimés des charges récupérables.

La diminution du plafond des ressources HLM, que nous condamnons, va permettre au bailleur d’avoir des recettes supplémentaires par le recalcul du SLS.

Suite à la baisse du taux du livret A, le remboursement des emprunts sera moins important que prévu, d’où un bénéfice pour le bailleur.

La récession économique accroît les difficultés rencontrées par les locataires et certains se trouvent dans l’impossibilité de payer des loyers qui augmentent au fil des années (SLS, charges, loyer de base). Et l’APL (payée par les contribuables) n’est pas destinée à absorber une nouvelle méthode de répartition appliquée par Logement Français, pour les charges des gardiens.

L’encadrement technique des gardiens doit être calculé sur la base du temps réellement passé dans la loge avec le gardien.

En cas de maintien de cette décision, une action sera menée auprès des Préfets concernés en rappelant la circulaire ministérielle sur les hausses de loyer.»

Pour toutes ces raisons, nous, représentants des locataires – membres du Conseil de Surveillance CLCV, CNL et CGL, nous dénonçons votre projet sur la baisse des charges par une augmentation de loyers.

Nous vous demandons d’annexer ce courrier au procès verbal du Conseil de Surveillance et du Conseil National de Concertaion Locative et du Conseil Régional de Concertation Locative.

Nous sommes à votre disposition pour toutes explications complémentaires.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, nos respectueuses salutations.

Sylvette PETITHORY-RAYÉ

Représentante des locataires Membre du Conseil de Surveillance de Logement Français pour la CLCV

Patricia SAVONNEAU

Représentante des locataires Membre du Conseil de Surveillance de Logement Français pour la CNL

Beverley LANGLOIS

Représentante des locataires Membre du Conseil de Surveillance de Logement Français pour la CGL

Nous nous tenons à votre disposition pour de plus amples informations